Une vive lueur
Me réchauffe le coeur
D'une douce chaleur.
Quand la morne nuit tombe,
Oh, ma tendre colombe,
Tu éblouis ma tombe
Par un simple regard
Dissipant tout brouillard
Qui n'est pas un hasard.
Moi, sur ton sein d'ivoire,
Le nectar je veux boire,
Et, en notre amour, croire.
Me réchauffe le coeur
D'une douce chaleur.
Quand la morne nuit tombe,
Oh, ma tendre colombe,
Tu éblouis ma tombe
Par un simple regard
Dissipant tout brouillard
Qui n'est pas un hasard.
Moi, sur ton sein d'ivoire,
Le nectar je veux boire,
Et, en notre amour, croire.
Mercredi 15 janvier 2003.
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